Aujourd’hui, je vous parle de Compter les couleurs d’Agnès Ledig paru le 20 octobre 2021 chez J’ai Lu.

Un mot sur l’auteure

Agnès Ledig est une romancière française.
Elle est sage-femme libérale en Alsace, l’épouse d’un agriculteur normand et la mère de trois enfants.
Elle commence à écrire en 2005, pendant la maladie de son fils Nathanaël, souffrant d’une leucémie.
Quand Nathanaël est parti, elle ne s’est plus jamais arrêtée.
« Marie d’en haut » (2011), son premier ouvrage, a remporte le prix « coup de cœur des lectrices » du roman Femme Actuelle 2011.
En moins de cinq ans, Agnès Ledig s’est imposée comme l’une des romancières françaises les plus aimées du grand public. Ses trois best-sellers, « Juste avant le bonheur » (2013), prix Maison de la Presse 2013, « Pars avec lui » (2014) et « On regrettera plus tard » (2016) sont aujourd’hui traduits en 12 langues.
Deux voix, deux visages, deux récits. À travers la lumière de leurs journaux intimes, Édouard et Élise se racontent et se répondent. Ils avaient le même âge quand ils se sont rencontrés, quand ils se sont aimés. Ils se retrouvent trente-trois ans plus tard.
Quel est cet amour si fort, si puissant qu’il peut renaître de la déchirure ?
J’ai commencé celui-ci avant de découvrir « Se le dire enfin » qui m’attend sagement dans ma pile à lire.
Il faut dire que j’ai été très séduite par la couverture et le titre de cet ouvrage. Je découvre les protagonistes avec beaucoup de plaisir et d’émotions même si au début, je me sentais un peu perdue !
De la naissance à l’adolescence, ils se livrent sur leur enfance. Jusqu’à leur rencontre qui concrétisera leur amour.
J’ai apprécié ce court roman qui se lit d’une traite.
Les personnages sont doux et attachants. J’ai aimé cette forte et belle amitié entre Édouard et Denis. Agnès Ledig a une jolie plume fluide, douce et délicate. L’auteure nous parle de l’accouchement, l’enfance, l’adolescence, d’amitié, d’amour et de liens familiaux d’une jolie manière !
Son amoureuse accepta notre intense amitié sans aucune jalousie et nous partagions notre temps libres avec un équilibre qui nous convenait. Je la trouvais intelligente et drôle. Plus je la découvrais, plus je comprenais les raisons de la joyeuse chute de Dédé.
Ce court roman est doux et rempli de tendresse.
C’est une jolie mise en bouche ! J’ai hâte de découvrir « Se le dire enfin ».
- Parution chez J’ai Lu, le 20 octobre 2021
- 96 pages
- Ma note 13/20