Bonjour à tous,
Aujourd’hui, je vous parle du roman Sous un ciel de faïence de Céline Laurens paru le 04 janvier 2023 chez les Éditions Albin Michel.

Un mot sur l’auteure
Céline Laurens est écrivain, journaliste et critique littéraire. Elle collabore notamment avec La Revue des deux mondes, Nunc et L’atelier du roman.
Quatrième de couverture
Bienvenue sur la ligne 6 du métropolitain. Sous les yeux de Jacques, conducteur, les stations défilent avec leurs personnages, baladins des temps modernes, mi princes mi voyous. Soren, prédicateur sulfureux ; la bande d’Hervé, les clochards philosophes de Raspail ; René-Charles, chanteur alcoolisé jusqu’à l’os qui ne jure que par Céline Dion ; Henri, le poète qui voit des couleurs et des fantômes ; Amandine, une punk à chien sans chien. Et puis il y a Madeleine, une originale au sacré caractère, hypocondriaque et impulsive, l’amour de Jacques. Madeleine, qu’aucune femme n’a pu remplacer. Où la vie mènera-t-elle cette faune d’âmes ? Et, surtout, quelles épreuves devront-ils affronter dans le clair-obscur des tunnels ?
Je découvre la plume de Céline Laurens avec son nouveau roman Sous un ciel de faïence.
C’est un voyage initiatique au cœur du métro parisien.
Une quatrième de couverture qui me tentait énormément.
L’histoire est bonne, intéressante et originale écrite avec une pointe d’humour.
Ce roman parle de la société où l’auteure nous en parle avec beaucoup de réalité.
Les personnages sont parfaitement bien décrits, ils sont intéressants et atypiques. Je me suis attachée à Jacques. Madeleine est hypocondriaque avec un sacré caractère. J’ai beaucoup aimé l’originalité de ce protagoniste.
L’intrigue est audacieuse, moderne et originale. Quant à la plume, elle est jolie et fine. Néanmoins, je n’ai pas accroché. Les phrases et les descriptions sont longues et ont alourdi ma lecture. Ce roman est cocasse et tragique.
Je suis très mitigée sur cette lecture et j’espère qu’il vous plaira plus qu’à moi.
Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?
- Parution le 04 janvier 2023 chez les Éditions Albin Michel
- 272 pages
- Ma note 14/20